Roleplay en cours:

Heath J. Andersen (le sujet) « Et jamais tu n'avais eu aussi froid. » Il y a des jours comme ça où rien ne va. Parce qu'il y a des jeux auquelles tu perds parfois, Lyria. Comme celui auquel vous vous êtes livré, tout les deux dans l'infirmerie. Lui, idiot procalmé pour avoir eu le malheure d'être charmé par ton physique particulier. Toi, monstre d'égoisme qui ne faisait que t'amuser. Mais pour cette fois, tu t'es trompée. Parce que maintenant, il y a ces mots entre vous. Parce qu'il a gagné.

Heath J. Andersen (le sujet) « … Je ne suis pas fatiguée de cette solitude. » Un samedi soir. Cette fête qui t'abruti. Tu n'en peux plus de tout se bruit. Et il a fallut que ce soit lui. Lui qui arrive dans cet espace vide de monde. Il a fallut que ce soit lui qui t'arrache à cette ambiance lointaine qui te donnait le tournis. Pourquoi est-ce que ca devait être lui? A croire qu'il pense être le prince qui pourra te faire danser.

Heath J. Andersen (le sujet) « C’était bien plus traitre que les mots la plupart du temps. » Les Guns et vous. Une danse, l'espace d'un instant. Un air de musique qui résonne dans l’amphithéâtre. Un duo face à cette foule de spectateur invisible. Il ne restera de tout ça qu'une migraine et un lien rouge. Ca et le plancher sous tes pieds nus. Tu n'accordes plus d'importance à ce qui s'est brisé.

Yugito Frazen (le sujet) « Il pouvait bien aller mourir dans ces couloirs interdit pour sa sieste, tu t’en moquais comme de ta première chaussette. » Le savoir et toi, c'est une grande histoire d'amour. On ne peut pas en dire autant pour ce type qui avait eu le malheur de dormir sur la seule table de lire. Mais tel est prit qui croyait prendre, c'est un retourne de situation inattendu qui se produit. Une chose est sure, ce garçon n'a pas la moindre idée de l’ennemi qu'il vient de se faire.

Yugito Frazen & Heath J. Andersen (le sujet) « Pourquoi avait-il fallut que vous soyez victime d’un timing aussi mauvais ? » Combien de chance? Combien de risque? Suite à votre rencontre mouvementé avec Yugito, tu te retrouves à l'infirmerie inconsciente. Et lorsque tu te réveilles, il est là. Lui aussi. Mais pourquoi? Le hasard avait un humour bien à lui, un humour auquel tu n'adhérais pas du tout. Qu'est-ce qu'il pouvait bien y avoir entre ces deux là?

Heath J. Andersen (le sujet) « Sur cet ilot esseulé par leur temps et les intempéries, tu savais ce que tu étais. » Blessée, esseulée plus que jamais. Tu avais fuis. Pied nu, sans même te soucier de ta santé. Tu t'étais échapé aussi loin, aussi vite que ca t'avait été possible. Parce que tu n'avais plus envie de savoir. Yugito et Heath. Quelle blague. Et pourtant, tu le retrouves là. A attendre ou presque. Tes bottes à la main. A t'attendre, toi.

Clyde Jaggerjack (le sujet) « Et en vérité, il y avait trois catégories. Toi, eux et les autres. » Encore ce lieu asceptisé. Encore un souvenir que tu voudrais effacé mais cette fois, c'est aussi une inexistence que tu décides à présent d'ignorer. En se rebellant, en te faisant face sans aller jusqu'à s'affirmer, la tête de cendrier a réussis à perdre tout son intérêt à tes yeux. Désormais, il n'existe plus. Ni ici, ni ailleurs.

Yugito Frazen (le sujet) « Dire que tu étais de si bonne humeur. » Parfois, le soleil brille. Mais aujourd'hui, même si les oiseaux chantent, si les gens tremblent à ton passage, c'est vraiment une journée merdique. Parce qu'il a fallut que tu le croises lui. Lui qui te mets mal à l'aise, lui qui a réussit à ébranlé ta certitude et ton assurance. Juste en existant. Parce qu'il n'est pas que lui. Même si tu ne sais pas ce qu'il est. Une chose dont tu es sure, c'est que mollusque et un véritable crétin.

Aniela N. Glinczanki (le sujet) « Mais ferme la trente seconde ! » Tout ceci ne serait jamais arrivé si tu n'avais cloué dans ce lit. Elle avait voulu à nouveau tenter de faire comme si vous étiez les meilleures amies du monde. Mais vous ne l'êtes pas. Vous n'êtes rien de cela. Il n'y a qu'elle, ses discours et ton agacements. Et, encore une fois, quelqu'un qui frappe ta carapace en l'ébréchant un peu plus. De quel droit ce pensait-elle égale à toi, dans la douleur et le reste?

May Bastide (le sujet) « Don’t think that I’ll be so easy on you next time, loser. » Cinq minutes. Trois mots. Il n'en avait pas fallut d'avantage. Il était presque de notoriété public que tu méprisais la France, ses habitants et tout ce qui pouvait s'en approcher de près ou de loin. Alors l'idée, non seulement d'y passer une semaine mais en plus de devoir partager ton espace vital avec des personnes de cette école ridiculement grandiloquente, c'était au delà de tes forces. Et puis cette fille tenait plus du clébard que d'une personne.

Yugito Frazen (le sujet) « Le monde est laid. » Quelques mots échangés, dans ce qui ressemble presque à une trêve quand on te connait. Il avait débarqué, brisant ta tranquillité mais pourtant, tu ne lui avais pas envoyé de porte dans la figure, ni fait faire le saut de l'ange. Peut-être que tu commençais à être fatigué de tout ça. De ses combats. Peut-être que ce monde était aussi laid pour lui qu'il l'était pour toi. Mais de toute façon, un crétin reste un crétin.

Heath J. Andersen (le sujet) « Pourquoi me brises tu à chaque instants ? » Tu avais pourtant tout fait pour l'éviter mais il avait fallut qu'on t'y traine quand même. Tu avais toujours détesté la foule, cette masse qui te rappelle que tu n'es rien, juste un vague courant d'air qui passe et qui pourrit la vie de quelques un avec un rhume. Et pourtant, tu le croises lui, même si tu aurais préféré éviter de le voir. Tu ne sais pas pourquoi mais tu n'arrives pas à être aussi arrogante que tu le devrais quand il est là, tu n'arrives pas à donner le change aussi bien qu'avant. Mais il y a cette fille, ces mots. Et soudain, le noir, le vide et l'oublie. Ce bal, cette foule. Ta faiblesse. Et finalement, tu disparais.

Dimitri J. Revmir (le sujet) « Tu la connais aussi… n’est-ce pas ? Cette douleur… » Il y a des jours où tu es de bonne humeurs... ces jours où tes pieds ne touchent plus le sol. L'erreur de ce garçon fut de te faire redescendre, toi qui avait avait réussis à trouver un peu de quietude. Et il le regrettas et le regretteras surement amèrement encore longtemps. Encore une personne naive qui fut, durant un bref instant, captivé par ton apparence singulière. Juste le temps de te laisser cracher ton fiel.

Gabriel de St-Andrez (le sujet) « Tiens donc. Messire de St-Andrez. » Un jour, tu deviendras quelqu'un. Tu n'aurais jamais penser le recroiser un jour, dans ce présent qui n'est qu'un futur. Dans ce lieu où, par ta propre force, tu es enfin devenu quelqu'un. C'est une discussion d'égale à égale qui s'installe entre vous. D'une certaine façon, ca te rassure, te conforte. Les choses ont changés et maintenant, tu arrives à être toi, sans ces faux semblants et cette arrogance. Enfin, presque. Trinquons donc, à ce futur si brillant.

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