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 EVENT 02 - Heath & Lyria

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Prophetia
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Mer 29 Aoû - 16:25

De la musique classique pour commencer, des belles robes et des beaux costumes. On avait prévenu que ce serait impressionnant, digne d'un bal d'époque, mais de le voir ici, a en coupe le souffle.

Heath, tu es arrivé à l'heure, seul, parce qu'au final, tu ne pouvait invité personne. Ce n'est pas si grave, puisque de toutes façons, on a l'habitude de te voir traîné à gauche et à droite pour des discutions avant de te volatiliser. Juste pour ne pas être totalement seul.

Lyria, tu n'as pas vraiment eu le choix quant à ta présence ici. Un professeur t'ayant croisé dans les couloirs t'as sommer de t'habiller et a attendu devant la porte de la chambre dans laquelle tu es logée. Te voilà donc en retard mais enfin prête. Avec une envie de tout envoyer en l'air. De préférence, dans la tête de ce dit professeur.

Lyria ayant sa robe, elle évite donc le ridicule que certains ont tout de même essayer de lui faire porté. Une robe fuseau ouverte et tombante orange avec un décolleté un peu trop plongeant. Comique, je vous l'accorde. Heath, quant à toi, on t'a offert quelque chose d'un peu spécial. Chemise à rebord bleu teal qui dépasse du gris sombre de ton complet. Et un haut de forme que l'on t'as presque obligé à porté. Tu te demande s le noeud papillon orange ne serait pas plus discret.

Lyria commencera le sujet en tombant directement nez à nez avec Heath.
Mais restez attentif à ce que je pourrez vous indiquez mes chéris.
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Lyria Sandman
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Jeu 30 Aoû - 13:39


Try to keep it down, So nobody hears

Ils n’étaient vraiment pas nets. Non seulement, les professeurs jouaient les gendarmes pour vous forcer à ces formalité mondaine d’un bal (non mais sérieusement… UN BAL, on est plus à la renaissance les mecs hein !) mais en plus, ils essayent de vous tuer avec leur sens de … l’esthétisme ? Non, c’était au-delà du mauvais gout. Tu avais même manqué l’arrêt cardiaque quand on t’avait présenté la chose que tu étais sensé mettre. SERIEUSEMENT ?! Orange ? Avec un décolleté jusqu’au nombril ? Il fallait vraiment qu’ils arrêtent de taper dans les réserves du drogué de service parce que ca leur grillait les neurones. Tu étais presque inquiète de ce que les autres avaient pu récolter. L’horreur.

Une chance pour toi, quand le professeur t’a attrapé, (ce professeur pervers qui faisait d’ailleurs le pied de grue devant cette chambre que tu avais fuis pendant une semaine) tu avais avec toi ton sac avec tes affaires. Après avoir cherché quelques chose de suffisamment habillé pour donner le change, tu t’apprêtas. Maintenant que tu étais obligé d’y aller, tu n’allais pas y aller comme une gueuse. Pour une fois, tu mesurais l’avantage d’avoir une petite poitrine. Pas besoin de soutient gorge et tu pouvais te permettre une robe en dos nu noué dans la nuque. Une longue robe noire suffisamment légère pour ne pas te gêner pendant toute la soirée. Par contre, tu n’allais pas échappé aux talons cette fois. Au pire, tu t’en débarrasserais en court de soirée, ca n’était pas dramatique. Le plus délicat fut de nouer l’étoffe noir/brun plus légère et moins opaque que la robe dans ton dos. Mais tu étais satisfaite du résultat, on avait presque l’impression qu’un papillon brun sombre s’était posé au creux de tes reins. Avec un sourire satisfait à ton reflet, tu commenças à chercher vaguement comment arranger tes cheveux, gueulant au professeur qui se plaignait du temps que tu mettais qu’il n’avait qu’à aller se faire voir chez les grecs si ca ne lui plaisait pas. Non mais oh ! C’était lui qui l’avait fait chier pour qu’elle y aille, qu’il assume.

Au bout de cinq bonnes minutes, lasse d’essais, tu finis par les laisser choir sur tes épaules et ton dos, les agrémentant d’un simple ruban noir avant d’enfiler de longs gants qui remontait au dessus de ton coude, presque à la moitié de ton bras. Observant ton reflet dans le miroir une dernière fois, tu pris cette expression conquérante qui t’allait si bien. Tu étais prête à marcher sur le moindre cloporte qui oserait se mettre sur ta route, l’écrasant avec classe et charisme. Là, même le blondin à roulette n’aurait strictement rien à dire. Sortant de la chambre d’un pas impérieux, tu lâchas quelques mots cassants au professeur qui trainait un peu trop à ton goût à présent. Il fallait croire que cette semaine à t’éloigner des gens qui se ponctuait par un bal avec l’ensemble des élèves des trois écoles, ca n’entamait en rien ton cynisme.

Mais malgré tout la prestance que tu t’appliquais à avoir, tu n’avais vraiment pas envie d’y aller. Une fois qu’il est sûr que tu ne feras pas demi-tour, ton chaperon t’abandonne à l’entrée de cette pièce trop pleine. Durant un bref instant, tu as l’impression d’être écraser par cette masse. Mais la second qui suit, tu te tiens encore plus droite, le regard dur et fier. Tu ne laisseras pas cette masse grouillante t’impressionné. Un pas. Clac. Deux pas. Clac. Trois pas. Clac.

Tu arrêtes ton avancée triomphante d’un coup. Il a fallut que ce soit lui, le premier regard que tu croises, à peine entrée dans cette salle. Il a fallut que tu tombes sur ce type, lui et son chapeau ridicule (vraiment, entre ta robe criarde et cet accoutrement ridicule, ils se sont dépassé ces fichus français). Il a fallut que ce soit Heath que tu croises en premier comme visage familier, alors qu’à ton poignet trône la seule couleur de ta tenue : une rose rouge en bracelet.
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Heath J. Andersen
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Sam 1 Sep - 9:31

La question était simple : Suis-je obligé d'aller à ce bal ? Cette party comme on n'en fait plus ? Étais tu obligé de devenir un prince charmant, d'entrer dans cette salle sortie tout droit d'une autre époque ? Étais tu obligé de porter ce haut de forme ridicule, de tenir droit, avenant, et surtout, attendre patiemment, seul, que la fête se termine ? Il n'en était pas question. Pourtant, on ne semblait pas te laisser le choix. Tu te devais d'être là. Quelques en soit les conditions.

Alors te voilà, arrivant dans cette grande salle, pas le premier, pas le dernier. Non loin des portes à discuter avec quelques cavaliers qui ne savent pas danser. A laisser s'échapper quelques rires de tes lèvres, A laissé mourir sur yeux un certain ennui. Tu n'es pas de ceux qui sont à l'aise dans un costard, et encore moins avec quelque chose sur la tête. Tu m'excuses, change de groupe. Tombes sur Karen. Elle est jolie. Vous étiez déjà sortis ensembles. Une nuit. Peut-être deux. Quelques journées, pour faire semblant. Pour nier les traits animaux qui vous habitent. De toutes façons, le semblant, ça te connait bien. Tu ne t'attaches pas pour un morceau de chaire partagée. Tu ne t'attaches simplement pas.
Alors tu la surprends. Caresse sa colonne vertébrale. Un frisson et elle se retourne. Croise ses bras autour de ta nuque et pose un baiser sur la joue auquel tu répond par un baise main. Vous commencez à discuter. Passer cette torture avec elle sera toujours mieux que seul. Vous riez. C'est un peu plus profond qu'avec le groupe précédent sans pour autant être transcendant. Vous dansez, un peu à peine. Retournez discuter. Elle te murmures de gentilles choses. Tu lui réponds dans un soupire que parfois, elle te manque. Sûrement se sent-elle trop seule. Sûrement est-ce ton cas aussi. Puis elle s'excuse, pose un baiser sur le coin de tes lèvres, juste assez pour être ambiguë. Pas de quoi dire qu'elle a voulu t'embrasser. Pas de quoi dire qu'elle préférais ta joue. Puis elle s'en va, comme un ange, dans sa robe mêlant ciel et opalin.

Et forcément, c'est là que tu croises ce regard. Un peu triomphant, un peu froid. Ton visage ne change pas. Pas même parce que c'est elle. Pas même parce que sa robe la rend encore plus belle. Ni même parce que vous avez un passé fragile, futile. Un instant, tu te demande qui est-elle ? Mais c'est normal. C'est ce que tu te dis devant le miroir. C'est normal. Elle n'est que la fille qui garde ton MP3, t'évites, et pourtant, se brise au moindre de tes regards. Alors tu t'avances vers elle. Comme si jamais rien ne s'était passé, Comme si vous étiez innocent, que tu attendais encore ses piques, gentilles.

Ta main effleure ses cheveux, replace une mèche. Encore. Simple geste. Tu fais bien attention d'éviter sa peau, souris, regarde dans ses yeux. Les autres penseraient que tu retrouve une de ces filles. Une de ces filles comme Karen. Quelqu'un avec qui tu ne te prends pas vraiment la tête. Mas tes pupilles, tes iris dilatées, trahissent légèrement le fait que ce n'est pas que ça. Et d'un côté, tu veux qu'elle le saches.
Tu recules, un pas. Lui laissant de l'espace. Ta voix est celle que tout le monde connait, fraîche, simple. Tes mains réajustent ton haut de forme.

    « Tu n'as pas de cavalier, princesse ? ».


Prononcera tu, ne serait-ce qu'une fois, son prénom ? Laisseras tu entre-apercevoir ce lien qui vous unis, vous désuni, par deux syllabe et cinq lettres ? A priori, non. Toujours utiliser ce genre d'appellation. Peut-être osera tu un Lyly, déplacé, mal tenté. Mais évitons toutes confusions. l'intime ne te connait pas. Pourquoi jouerais tu avec lui ? Toi, paumé dans tes ressentis.
Et puis elle réapparaît. Enserrant ta taille, plantant on regard dans le sien qui détourne ton attention. Un sourire passe tes lèvres. Ton bras viens se poser sur ses épaules. Forcément. C'aurait été trop simple, sinon.

    « Oh. Heath. C'est une de tes amies ? Tu nous présente ? ».


Vous aviez dit mal à l'aise ?
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Lyria Sandman
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Sam 1 Sep - 20:30


Everything you'll say, will show me the way
Ca aurait été trop simple. Beaucoup trop simple qu’il finisse par détourner les yeux et reprenne ses habitudes d’oiseau volages, se posant quelques instants dans des groupes éparpillées, aux milieux de ses groupies dépareillées. Tu t’en fichais, en surface, tant qu’il ne s’affichait pas trop près de toi aux yeux du monde. Parce que tu savais pertinemment comment tu étais, dans ces moments là. Et cette semaine avait été épuisante de bien des façons alors, tu n’avais pas envie qu’il fait ses quelques enjambés qu’il y avait entre vous. Mais ce que tu voulais n’avait pas beaucoup d’importance.

Comme d’habitude, il fait ce qu’il lui chante, se rapproche, joue avec tes cheveux, te fixe dans les yeux. Tu ne baisses pas les yeux, pas à cet instant alors que tu n’as pas à lever le nez autant que d’habitude grâce à ces accessoires de tortures que tu portes aux pieds. Au moins, ils auront été utile avant que tu t’en débarrasses sous une nappe. Pas un mot durant quelques secondes mais bien assez pour échanger. Presque trop d’information pour toi, toi qui regretterait presque d’en savoir autant sur les manifestations physiques de tout un tas d’état émotionnel. Plus ou moins. Juste ce qu’il faut pour comprendre le principale.

Il lance le jeu, alors que l’un de tes ongles gratte l’une des coutures de ton gant, seul geste pouvant trahir ce malaise que tu as à le croiser d’emblé. En voilà une perche bien facile à prendre. Tu croises légèrement les bras, avec un mince sourire en coin.

« Pourquoi ? Tu comptes proposer tes piètres talents de danseur ? »

Petit rappel, juste assez sous-entendu mais jamais trop. Parce que tu les connais ses capacités de danse mais que tu ne veux pas non plus particulièrement te souvenir de cette soirée. Mais avant que les choses plus s’enchainer, voilà que tes bras s’accrochent, qu’un visage trop maquillé se montre. S’incruste même. Ta mine se renfrogne un bref instant avant de reprendre cette expression figé que tu arbores en permanence, froide et impérieuse. Et la voilà qui piaille, comme si vous pouviez être bonne amie, comme si vous aviez quoique se soit que vous pourriez partager.

« Mais quelle merveilleuse idée » lâchas-tu d’un ton cynique. « Présente nous donc, Don Juan. »

Ce sourire qui n’avait rien d’aimable, ses mots tranchant enrobés d’un chocolat trop amer pour être gober. Tu n’avais même pas adressé un regard à la fille, si ce n’est celui de la surprise de voir un "truc " dans ton champ de vision quand elle était aperçue. Tu ne laissas pas vraiment le temps à l’allemand pour tenter d’articuler. Toi ? T’infliger une discussion barbante de présentation à cette fille aussi ridicule que grossière ? Et puis quoi encore. Il y avait de ça mais aussi le fait que tu n’avais pas envie. Pas envie d’entendre sa réponse à ce qui pouvait vous lié. Vous n’étiez pas amis. En réalité, il n’existait pas de mot pour définir ce que vous étiez et c’était parfait comme ça. Tu n’avais pas besoin d’un mensonge social à balancer à la figure du monde.

« Je vais m’épargner cette perte de temps je pense. Les catins qui ne savent se taire, ce n’est vraiment pas ma tasse de thé après tout. »

Posant ton regard sur l’intruse, tu lui adressas un sourire qui traduisait certainement sans mal tout le mépris que tu pouvais avoir pour elle. Envers ce qu’elle était, ce qu’elle représentait mais aussi… pour ce qu’elle venait de faire sous ses yeux. Parce que c’était ça ton visage au milieu du monde, c’était là un extrait de la cruauté que tu crachais au quotidien aux visages des autres. Une froideur que tu n’avais jamais réellement eue à l’égard de Heath, même avant que s’installe cet étrange rapport. Mais ce n’était pas parce qu’il était là que tu allais t’assagir et montrer patte blanche. Parce que tu n’étais pas comme ça. Tu ne l’avais jamais été et ne le serais jamais.

« Passe une bonne soirée. » lanças-tu finalement à la fille, sans laisser vraiment entendre que ça ne s'adressait qu'à elle.

Quelques mots empoisonnés enrobés de miel. Quelques mots de trop surement. Mais ce n’était pas comme si tu t’étais dis que tu pourrais faire un effort. Tu fis quelques pas pour t'éloigner de ce duo qui te filait la nausée. Tirant sur le ruban qui nouait la fleur à ton poignet, tu jetais l'accessoire à la poubelle sans le moindre regret, ou presque.

Tu n’avais pas envie de venir de toute façon.
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Heath J. Andersen
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Dim 2 Sep - 15:03

Les bras de Karen, le regard de Lyria. La musique est un peu trop forte, le haut de forme pèse sur ta tête comme une épée de Damoclès. D'un côté, tu aurais préféré ne croisé aucune de ces deux filles, ou peut-être une seule. Pas qu'elles aient une place monumentale dans ta vie. Elles ont comptés, à leur manière, quelques heures, juste tu ne le reconnais pas conscience.

Pourtant tout s’enchaîne rapidement. La brune passe une main autour de ta taille, entrouvre ses lèvres en te regardant, comme suspendue à ta bouche, à ce que tu pourrais répondre. Tes doigts se posent machinalement sur sa hanche alors que l'anglaise reprends la question de ta cavalière de fortune. Avec ce surnom, celui qui vous appartenait dès le début. Celui qui vous rendait, d'une certaine manière proche, loin de toutes agressivité, loin de toutes fragilités.
Il ne te faut qu'une seconde, même pas. Faire claquer ta langue pour que les mots cinglent l'air. Une vérité un peu trop crue, qui blessera sûrement les deux jeunes femmes qui t’entourent. Une vérité parmi tous tes mensonges. Parce que peut-être que tu es simplement lassé. Peut-être parce que tu te dis, ça vaut mieux ainsi. Et tu penses à Yugi. Avec sa spontanéité. Avec sa facilité à aller au devant des choses. Et pendant le temps de tes parles, tu te sens un peu plus proche de lui. Un peu plus lui.

    « Sandman, je te présente Karen, une ex et une amie. Karen, la princesse sous tes yeux est le plus gros râteau de ma vie allemande. »


Tu as esquivé le prénom, comme d'habitude. Et elle s'en rendra compte. Très sûrement. Le mot amie aurait dû t’arracher une grimace, et à vrai dire, il est la part de mensonge. Le moment pour ne pas vexer. Le petit mot clef, qui remplace le de temps en temps, j'aimerais bien te sauter. Peut-être qu'elle aussi comprendra, mais de toutes façons, tout est dans les faux semblants. Mais alors pourquoi ce besoin de casser ta fierté en te présentant comme un prétendant inachevé ?

A ce même moment, l'ancienne élève russe claque des mots, mêlant venin et agressivité. Quelque chose auquel u n'es pas habitué. Quelque chose que tu as déjà pu constater quand elle s'adressais aux autres mais que tu n'as jamais relevé. Le flocon de neige à tes côté laisse passé une expression outrée sur son visage. Tu ferme les yeux et secoues la tête, comme pour lui dire de se calmer. Tes doigts resserrent leur prise. Comme pour la rassurer. Le temps que Lyria s'esquive avec ce goût amer dans cette politesse.

Il te faut quelques minutes, à discuter avec la brune, la rassurée. passer tes mains sur son visage et manquer de l'embrasser. Juste parce qu'elle a ce manque de confiance en elle. Et tu pose ce baiser sur sa tempe alors qu'elle en est encore remuée, désespérée que tu n'aies pas pris sa défense. Pourtant tu ne lui dois rien. Vous n'aviez aucune raison de passer cette soirée ensembles, à danser sur des rythmes trop doux, juste parce que vous étiez esseulés. Tu ne lui dois rien. Elle n'est qu'une connaissance, quelqu'un d'autre.

Et tua laisse, l'abandonnant. Pas comme ça, non. Tu appelles Lex, l'un des gars avec qui tu parlais, les présentes, t'esquives. Et u pars. Par à sa recherche. Tu regardes parmi les robes noires. Il y en a bien trop. Alessa, Jenna, Marie et toutes les autres. Jusqu'à ce que tu trouve cette chevelure blanche. Tu attrapes ce poignet, délié de la fleur qui s'y tenait quelques minutes plus tôt. Tes bras s'agrippent autour de ce corps avant de se placer pour une danse. Tu ne lui laisseras pas le choix. Tu veux parler à l'abris des regards. A l'abris des oreilles. Tu veux, d'une certaine manière, être avec elle. Etre avec...

    « Pourquoi me brises tu à chaque instants ? ».


Des mots murmurés au creux de son oreille. Des inspirations lentes. Tu n'as rien fait dans cette histoire. Juste saluée, juste effleuré ses cheveux. Et tu avais eu le droit à son venin.

    « Pourquoi ne me laisses tu pas, être simplement avec toi ? ».


Et dans un geste aussi doux qu'indélicat, tes lèvres viennent se poser sur sa nuque.
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Lyria Sandman
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Dim 2 Sep - 16:30


She's got a target painted on her back
Tu n’avais rien écouté. Pourquoi aurais-tu fait un effort ? Ta voix avait surplombé celle de l’allemand et tu n’avais même pas cherché à comprendre ce qu’il avait voulu dire quand vos deux phrases s’étaient superposées, trop contente de voir l’air outré de l’autre greluche. Ca avait été ta victoire et tu t’étais éloigné. Quelle victoire. Pourtant, tu gardais un gout amer, t’efforçant de ne pas jeter un regard en arrière alors que tu t’éloignais, longeant cette masse plutôt régulière des élèves dans cette vaste pièce. Une fois dans un coin plus calme, tu avais vaguement glissé ton doigt entre ton talon et la lanière de tes escarpins. Quelle plaie ce genre de chaussure. Ca ne faisait même pas quelques minutes que tu marchais avec que tu te sentais comme la marâtre de Blanche Neige, dansant avec les souliers de fer chauffé à blanc.

Laissant filer un léger soupire en reposant ton pied au sol, tu aperçus vaguement Heath en compagnie de sa groupie dans un nouveau groupe.
Les choses reprenaient leur court normal malgré ce début de soirée étrange et mouvementé. Toi seule en marge de cette foule, lui avec une anonyme au bras au milieu de tous ces gens. Parce que c’était comme ça que les choses étaient. Détournant le regard de cette vérité qui t’agaçait plus qu’elle ne le devrait, tu te mis en tête de trouver un coin tranquille où tu pourrais passer le reste de la soirée en paix. Et surtout, te débarrasser des instruments de tortures que tu avais aux pieds. C’était ça ton plan, parfaitement orchestrer. Enfin, c’était sans compter sur le seul élément dont tu étais incapable de prévoir les actions.

Heath Joy Andersen.

Ta marche impériale fut soudainement stoppée par une main s’accrochant à ton poignet délaissé de sa présence compagnie plusieurs minutes en avant dans la soirée. Avant même que tu ne te retournes pour engueuler la personne qui se permettait d’être aussi familière, tu te retrouvais au milieu de cette masse que tu avais pourtant pris soin d’esquiver jusqu’à maintenant, soigneusement et subtilement. Bloqué, coincée. Prisonnière. De la foule, de ses bras. Légèrement déséquilibre par ces ridicules accessoires à tes pieds, ta main s’était très légèrement accroché à la manche de sa veste le temps que de retrouver ton équilibre alors qu’il te gardait contre lui. Tu t’apprêtas à lui crier dessus, lui enfoncé un de ces fichus talons sur l’orteil de la façon la plus douloureuse possible. Parce qu’il osait attirer l’attention, parce qu’il s’affichait au reste du bal. Il osait s’afficher avec toi. Pire encore, il t’avait même trainé au milieu de ces gens, de cette foule.

La première raison qui faisait que tu n’aimais pas les rassemblements, c’était parce que tu détestais les gens. Mais la raison pour laquelle tu détestais tout ces gens, c’est parce qu’inconsciemment, tu ne pouvais t’empêcher de te comparer à eux. Face à une personne, un petit groupe, tu avais l’avantage. Avec ta morgue et ton venin, tu prenais toujours l’avantage. Mais au milieu d’une foule pareille, tu ne pouvais rien faire. Toi qui n’étais pas très grande sans tes talons par rapport à eux. Toi qui n’avais pas vraiment de jolie forme par rapport à elle. Toi qui ne savais pas vraiment danser par rapport aux autres. Toi qui avais ses cheveux à la fois étrange et si mal arrangé. Toi qui n’avais pas la classe de tous ces gens trop bien habillé par de grande marque. Toi qui n’étais que l’ombre de ce que tu prétendais être le reste du temps, écrasée par ce trop plein de personne autour de toi.

Tu avais tellement eu envie de t’en prendre à lui, de lui hurler dessus, de le frapper même si ce n’était pas dans tes habitudes. Mais ta raison avait malgré tout réussit à prendre le dessus. Parce que vous n’attiriez pas du tout l’attention. Deux arbres au milieu de la forêt.

« Pourquoi me brises-tu à chaque instants ? »

Sa voix te fait presque sursauter à cause de la proximité. Tu es un peu comme un chat sur ses gardes, tressaillant au moindre bruit suspect. Tu fronces un peu les sourcils, contrarié par sa remarque. En quoi insulter la greluche pendue à son bras pouvait l’avoir affecté ? Il aurait même du te remercier, il a du pouvoir la consoler, cette mijaurée à la fierté mise à mal. Elle et son décolleté rembourré. Et puis, si tu es si cruelle avec lui, pourquoi est-ce qu’il est là, à t’emprisonner de ses bras ?

« Pourquoi ne me laisses tu pas, être simplement avec toi ? »

Parce que je suis faible avec toi et que je refuse d’être faible.
Voilà ce que tu aurais répondu si tu avais été quelqu’un d’honnête. Si tu avais été quelqu’un d’autre. Mais c’est une toute autre réponse qui s’apprête à franchir tes lèvres quand un frisson remonte ta nuque au contact de ses lèvres sur ta peau. Ta main, que tu réalises avoir laissé accroché à sa manche seulement maintenant, serre le tissu de son vêtement. Tu restes sans savoir quoi dire pendant quelques secondes avant de simplement tirer sur la veste.

« Imbécile ! Tu vas faire quoi si tu récupères mon don comme dans l’infirmerie ! » sifflas-tu assez fort pour l’engueuler mais pas suffisamment pour attirer l’attention autour. Juste assez dosé.

De l’inquiétude ? Ca y ressemblerait presque, si on ne parlait pas de toi.
Et toi qui évoque ce lieu, cet instant. Tu te mordrais presque la lèvre pour l'avoir évoquer. Ce moment que tu ne voulais jamais ramener sur le devant. Ce froid et cette humidité dans une ambiance aseptisée.

Tu commenças à te reculer avant de te faire bousculer par un autre duo bien plus prit par la valse que vous pouviez l’être, revenant à ton point de départ. Dans ses bras, contre lui. Tu étais encore plus cerné que tu ne l’avais pensé. Bloquée, acculée. Et comme un écho retardataire, tu entends à nouveau sa première question dans ta tête. Pourquoi me brises-tu à chaque instant ? Et lui alors ? Pourquoi continuait-il à revenir inlassablement, dans ce jeu dont vous sembliez ressortir à chaque fois un peu plus perdant l’un comme l’autre. Pourquoi me brises-tu à chaque instant ? Tu aurais été tout autant en droit de le dire que lui. Peut-être l’as-tu pensé un peu trop fort. La musique résonne autour de vous mais la proximité a pu trahir ce murmure machinal de l’écho de sa question rhétorique qu’on former les lèvres.
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Heath J. Andersen
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Mer 12 Sep - 8:26

Son don. A vrai dire, tu y avais pensé. Tu y étais préparé. Et, il faut avouer que ça te surprends qu'elle n'aie pas réfléchit d'avantage avant de parler. Son don, tu l'as senti couler dans ton corps au moment où tu as saisit son poignet, effleurer sa peau avec tes doigts pour l'emprisonner. Le baiser n'était qu'un plus, un accessoire comme diraient les acteurs. Comme un sceau, un scellé.
Mais tu es Heath. Même ce geste n'est pas naturel venant de a part, malgré sa fluidité, sa délicatesse et sa douceur. Il est venu se posé là, comme prévu et réfléchi, même si tu n'en avais été certains qu'une fois que tes lèvres avaient quitté son cou. Mais comme toutes réponses, tu offres ton sourire, sans un mot, et tu fermes les yeux, inspirant lentement. Ta cravate se resserre, ou plutôt se réajuste lentement. Parce que cette fois-ci tu savais, parce que cette fois-ci tu y étais préparé. Il t'aurais certes été impossible de faire quelque chose de bien plus compliqué, mais ça suffit. Ca suffit à dire que tu comprends comment son don fonctionne, du moins avec oi, que tu as compris comment elle fonctionne, en partie, avec toi.

Et puis le s'éloigne, revenant un peu plus contre toi. Peut-être que le monde lui fait peur. Peut-être que tu es comme une barrière. Le seul dont elle n'a pas que du mépris. Et même si c'est un peu pompeux de penser ainsi, tu n'as pas honte. Parce que dans le fond, tu penses qu'il y a une part de vrai. Tes mains se verrouillent sur sa hanche, sur son épaule. Pour ne pas la laisser partir. Tu es à portée de souffle, tu embrasses sa tempe. Longuement, peut-être un peu trop. C'est comme de l’affection. Comme.

Et d'un coup, après ces quelques secondes, tu la lâches, pars sans te retourner, et l'abandonne. Parce que ses mots te font bien comprendre qu'elle ne veut pas de toi. Et même si tu n'y crois pas, tu voudrais brisé sa fierté, son égal, juste pour une fois, pour une fois ne pas être désagréable, pour une fois être humaine. Il y avait juste ces trois mots qui tombaient, comme une sentence, comme si tu accepté le jugement. « J'ai compris. »

Te voilà retournée vers ces gens, à embrasser Karen sur le front, brièvement, comme pour lui dire que tu étais revenu. Et si elle sourit ce n'est pas le cas de Lex qui semble dégoûté. Tu ris avec eux, comme si tu oubliais ce petit interlude. Et dans un sens, tu devais la laissé partir. Dans un sens, c'était écrit.
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Lun 24 Sep - 13:14


But I've got so much wickedness and sin.
Tu détestes cette sensation, celle d’être à la merci de tout, de n’importe quoi… de n’importe qui. Et comme une arme à double tranchant, ta fierté te blesse et te protège. Tu détestes être ici, au milieu de ce monde. Et dans ces bras à lui. Parce que tu sais qu’il va être ton seul soutien, et que tu ne pourras jamais le nier suffisamment fort pour qu’il y croie. Parce qu’une danse, le temps d’une trêve, vous l’aviez déjà expérimenté et qu’il n’aurait pas le moindre mal à juger de la différence. Et tu détestais ça. Que l’on puisse lire dans tes actions et réactions. Et il te regarde vers lui, sans que tu comprennes ce qu’il lui prend, pourquoi, au milieu de ce monde, il n’agit pas comme il l’a toujours fait. Comme tout à l’heure avec sa greluche au bras.

Et soudain, ses lèvres se posent sur ta peau, sur ta tempe. Ta main se serre, tu ne te rends même pas compte que tu as fermé les yeux avant que tu ne les rouvres, la lumière t’éblouissant un très bref instant. Ce garçon est impossible à suivre, même pour toi qui te targue de comprendre tout et tout le monde. Ce garçon là, tu ne le comprends pas. Ces gestes trahissent à chaque instant quelque chose de différent. Sa main qui se glisse sur la hanche de cette allumeuse, cet air indifférent qu’il te sert face au monde, ses bras qui te garde près de lui, ses lèvres qui t’effleurent doucement. Et toi qui ne fais rien. Parce que ta fierté t’empêche de reculer pour te heurter au monde ou de t’accrocher pour qu’il ne s’éloigner par plus.

Et il se détache, tourne les talons et s’éloigne. Te laissant seule et furieuse. Blessée. Un couple te bouscule à nouveau et c’est la goutte d’eau. Alors que tu fais volte face pour t’éloigner, le talon de la fille qui t’avait presque marché dessus se brise la faisant lamentablement tomber sur le sol, sans que tu prennes la peine de leur accorder le moindre regard. Et tu fends cette foule, écartant quiconque se mettrait en travers de ta route. Furieuse. Blessée. Ton regard se tourne un bref instant vers ce groupe de gens, cette Karen et … les autres. De la colère. Ce n’est que de la colère. Ca ne peut rien être d’autre. Tu fermes ton poing d’un geste sec, le gobelet de la demoiselle au bras d’Heath se broyant dans sa main en éclabloussant sa belle robe de punch alors que tu détournes le regard pour aller dans un endroit tranquille.

Un endroit sans personne pour te bousculer, te toucher. Loin de ce monde que tu haïssais par fierté. Ce monde qui t’avait blessé… par fierté.
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Prophetia
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Lun 1 Oct - 9:17

Alors que l'un de vous discute, que l'autre s'en va, qu'une coupe se brise, qu'une robe se tâche, les lumières s'affolent, les lumières s'éteignent, et un instant, tout est dans le noir complet. Il y a des murmures, des commentaires, tous ces mots de surprise, puis un silence qui suit la voix impérieuse de Monsieur Ostrogoth. Celui-ci vous demande de sortir sur ce balcon qui mène aux jardins, encore mieux, de descendre sur la pelouse pour admirer le clou du spectacle. Et ca ne manque pas, à peine sa phrase s'achève qu'une fusée explose dans le ciel. Tous s’émerveillent déjà, se précipitent à l'extérieur pour ne rien manquer du spectacle.

Lyria, tu es entraînée dans ce mouvement de foule aveugle, que tu suis, sans trop avoir le choix, avant de te sentir happée, attrapée. Tu as à peine le temps de sortir un cri de tes poumons qu'une main entrave ta bouche. Et puis plus rien. Tu n'es simplement plus là. Heath, tu te dirigeais avec ta cavalière vers l'extérieur quand tu as entendu ce cri étouffé, comme peu, trop excités d'assister à un feu d’artifice en leurs honneurs. Tu clôture donc le sujet.
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Heath J. Andersen
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Placidus


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Lun 8 Oct - 17:49

Au milieu de cette foule, tout est parfait. A vrai dire, tu es tel que l'on te connait. Karen parade à ton bras, et c'est vrai, tu dois l'avouer, elle est très belle. Tes camarades te tapent dans le dos, te félicitent pour des choses que tu nies en bloc. Vous parlez un peu littérature, Ta douce se pends à ton cou et te vole un baiser. Pourtant tu sais très bien cacher ta surprise. Alors tes mains se posent sur ses hanches et un sourire se dresse sur tes lèvres. Tu as droit à quelques remarques. On te demande depuis quand tu es avec elle. Et tu réponds simplement « Quelques instants. » Elle rit nerveusement. Sûrement que c'est peu commode qu'une femme fasse le premier pas. Mais peut on parler de premier quand vos corps se connaissaient déjà ? Que vous aviez passé trois formidables semaines à faire semblant de vous aimer. Un petit couple assez discret qui n’alimentait pas trop les ragots. Sa main se resserre sur la tienne. Et sa coupe se brise. On pourrait croire à un geste instantané, mais toi, tu comprends à son visage ahuri que ça ne vient pas de là. Et alors que tu devrais lancé un regard à une foule surement désertée par la responsable, tu te contente de poser un baiser sur le front. Tu lui chuchotes que ce ne sont que des vêtements. Que ce n'est rien de grave. Ils ont entendus autour de toi Ils se permettent quelques blagues grasses que tu fais rapidement taire.
Un copain idéal, comme tu l'as toujours été les premiers soirs.

Pourtant, très vie out s'anime. Ou plutôt s’enchaîne. Il y a cette coupure de courant. Ostrogoth clame que c'est pour le clou de la soirée. Alors tu en profite pour murmurer à ta cavalière qu'au moins, personne ne verra la tache sur sa robe. Pourtant, alors que vous vous dirigez vers le balcon une voix coupée dans son élan, sa puissance. Et instinctivement, tu t'arrêtes de marcher, retourne ton visage, mais forcément, dans l’obscurité tu ne vois rien. A peine quelques visages éclairés aux rythmes des fusées qui éclatent déjà dans le ciel. Elle te ramène à la réalité en te demandant ce qui se passe. C'est là où tu dois faire un choix. Et en un sens, elle l'a déjà fait.

Tu passes une main dans les cheveux de Karen. Étire tes lèvres dans un sourire avant de venir l'embrasser. Tu lui murmure un « Rien de grave, mon ange. » à à peine quelques centimètres de sa bouche. Tes bras l'enserre. Tu ne la laissera pas partir. parce que ce soir, elle est ta bouée. Tu n'es qu'une bouteille à la mer et elle est venue te récupérée.

Après tout, Sandman a fait son choix. A trop me repousser, il fallait se douter que je cesserais de revenir. Je suis pas son boomrang, merde ! Si elle a un problème, elle sait où me trouver. Mais au bout d'un moment, je crois que c'est normal d'abandonner. Elle ne m'apporte rien que des emmerdes, et comme un con j'y vais. Je la voulais parce qu'elle était belle. Puis parce que je pensais qu'elle me ressemblais, trop seule parmi la foule. Mais peut-être je me suis juste trompé. Peut-être que dans le fond, ce n'était qu'un jeu qu'elle avait installée que je m'étais habitué à jouer.

L'air frais caresse ton visage. Et bizarrement, ta tête se vide. Tu repenses aux quelques fois où tu es allé à Genève avec ton père pour les feux. Et pour la première fois depuis longtemps, tu te sens léger, heureux..
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