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| Valerija L. Weise - No one can do you the way that I do | |
| Valerija L. Weise
Messages : 1 Date d'inscription : 15/02/2013
Carte d'Identité Âge: Don:
| Ven 15 Fév - 4:02 | |
| Valerija Laureina Weise She may be the queen of hearts, but imma be the queen of your body parts | 20 ans | Sexe… Ça se voit, non? |
5ème année | Nationalité Allemande | Je suis une élève de Virtus Insania dans le groupe des … À vous de me le dire.
You can’t resist this, baby, it’s just too strong Charisma’s serenade: C’est toujours très subtil, impossible à voir venir même si l’on a déjà pris connaissance de son don, même on l’a déjà subi. Parce qu’elle n’en parle pas, elle s’exécute, tout simplement. Ça peut avoir l’air presque innocent, même, alors que ses talons foulent lentement le sol marbré d’un couloir et que ses yeux sont fixés sur le plafond. Air angélique. Elle veut quelque chose. De l’attention, peut-être. Ou encore la veste que ce garçon porte parce qu’elle a froid aux épaules. Alors elle ouvre les lèvres et sa voix perce l’air. Parfois doucement, parfois plus fort. Elle adore chanter, sa voix est particulière, impressionnante, belle et envoûtante. Elle chante, n’importe quelle chanson, n’importe quelle mélodie. Les gens aiment l’entendre chanter, les gens l’écoutent. Alors on la trouve encore plus belle, encore plus attirante, c’est plus fort que soi. On a du mal à lui dire non, on veut lui faire plaisir, on veut lui plaire, lui céder ce qu’elle vient ensuite nous demander, avec son sourire irrésistible pendu au coin de ses lèvres. Et sans qu'on ne sache trop ce qui s’est passé, elle se retrouve avec la veste d’un garçon sur les épaules.
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Suck my cockiness, lick my persuasion
Peu de gens l’aiment parce qu’il n’y a, en réalité, que très peu de choses à aimer de sa personne. Certains diront qu’elle est infecte, d’autres admettront qu’elle est juste bonne à baiser. Mais personne ne vous dira qu’il apprécie véritablement sa compagnie, pour ce qu’elle est. Personne ne sait ce qu’elle est. Et elle, elle vous dirait que c’est tant mieux, qu’elle n’a pas besoin que les gens sachent exactement qui elle est. Sans doute parce qu’elle ne le sait pas trop elle non plus. Et franchement, elle a bien d’autres soucis, nul besoin de se prendre la tête avec ces imbécilités de sentiments. Oh, on peut certainement apprécier une soirée en sa compagnie, la trouver bien fréquentable, voire adorable. Mais c’est parce qu’elle en décide ainsi. Elle est promiscueuse, très promiscueuse et elle l’assume entièrement, même qu’elle en est fière. Les relations sexuelles ne sont à ses yeux qu’un jeu auquel elle est complètement accro, pour combler un manque qu’elle ne nommera certainement jamais. Elle succombe souvent à la tentation de la drogue, en consomme régulièrement, parce que ça lui permet de se sentir vivante. Parce que lorsqu’elle a la tête dans les nuages, elle est un peu plus elle-même, un peu moins catin. Mais la caractéristique la plus importante de la personnalité de Valerija, c’est qu’elle manipule les gens autour d’elle pour obtenir ce qu’elle désire. Alors que d’autres manipulent en restant plutôt fidèle à eux-mêmes, Val’, elle, serait capable de changer entièrement qui elle est si c’est pour obtenir plus facilement accès à ce qu’elle recherche de l’autre personne. Elle se fera douce, câline, attentive et tendre, et lorsqu’elle aura eu ce dont elle a besoin, elle partirait sans un mot. Juste en riant. La plus grande majorité du temps, ça fonctionne, les gens ne réalisent pas ce qu’elle est en train de faire. Et si un jour elle se laisse attendrir par quelqu’un, elle aurait tendance à vouloir combattre cette vraie affection comme une damnée. Ça c’est en supposant que quelqu’un la supporte aussi. Elle n’est certes pas agressive au niveau physique – bien trop précieuse pour ça - , mais elle compense entièrement en bassesse morale.
I'll do you right here while the whole world’s watching
Il m’a fallu qu’un sourire, que quelques notes chantées sur le bout de ma langue. Ça faisait déjà un moment qu’il me déshabillait du regard, de l’autre côté du bar. Il voyait les shots de téquila qui passaient entre mes doigts, les grains de sel que je ramassais à la commissure de mes lèvres du bout de l’index, la tranche de citron fixée entre mes dents alors que mon regard se crispait doucement de la sensation de l’alcool dans mon œsophage. Je le voyais, lui et son sourire en coin, ses épaules larges, sa gueule de trop bel enfoiré. Je voyais ses yeux marrons qui déviaient parfois vers le décolleté prononcé de mon chemisier blanc, ses mains qui se frottaient l’une sur l’autre, comme s’il s’imaginait les sentir parcourir mon corps, du creux de mon épaule au galbe de ma fesse. Et je me sentais seule, comme c’était toujours le cas, comme ça avait toujours été le cas. Je m’ennuyais, toute seule avec mes shots de téquila. J’avais besoin de contact, de friction, de chaleur. Je ne me suis jamais vraiment demandé pourquoi l’appel de la chair était si important et marqué chez moi. Un psy m’aurait sans doute sorti une pauvre excuse comme quoi j’ai manqué d’attention masculine saine durant mon enfance. Peut-être aurait-il réussi à apprendre que les années d’abus de toutes les sortes venant de mon oncle m’ont traumatisée bien plus que je ne saurais jamais l’admettre. On finit par croire cet homme qui nous traite de traînée en passant ses mains sales sous sa jupe, alors qu’on a tout juste dix ans. Un autre shot de téquila, et je me lève, mon regard de miel ancré, déterminé, dans le sien, mes hanches se balançant déjà de manière inconsciente au rythme de la musique. Je pose ma main sur sa nuque, il passe son bras à ma taille. Deux-trois mots et un baiser sur l’oreille plus tard, on se retrouve sur la piste de danse. La musique est forte, l’alcool et la coke sont enivrants, ses mains et son bassin insistent alors que le mien n’offre aucune résistante. Des ongles contre sa nuque, sa paume contre mon sein. Et dans cette ivresse, je ne perds pas vue de l’objectif initial. Je penche la tête vers l’arrière, mes longues boucles brunes s’étendant en cascade sur son épaule, et un chant perce mes lèvres. Je chant la chanson dont le remix fait vibrer nos tympans. Mais il n’écoute que moi, que ma volonté. Un soupir passant ses lèvres me dit qu’il est à moi. Alors je lui murmure à l’oreille ce que je veux, ce que mon corps en entier crie depuis que j’ai croisé son regard.
Pas cinq minutes plus tard, nos corps s’unissent d’une toute autre danse, à la jonction de deux murs de brique, derrière la boîte de nuit. Ma jupe retroussée à mes hanches, son pantalon pendant mollement à ses chevilles, son poing serrant violemment mes cheveux alors que mes doigts se crispent en vain sur la pierre rougeâtre. Je pourrais me servir de mon don pour des motifs beaucoup plus nobles qu’un plan cul consumé en cinq minutes. Mais c’est tout ce dont j’avais envie. Et ce que je veux, je l’ai.
'cause I may be bad but I’m perfectly good at it
- Elle est tout particulièrement coquette et fière de son apparence. Elle se coiffe et se maquille avec attention, prend beaucoup de temps à choisir ses vêtements qui accentuent la forme précise et généreuse de son corps.
- Malgré son apparence, elle ne passe pas son temps qu’à faire les boutiques. Il n’est pas rare de la voir en train de lire ou en train de jouer à quelques jeux vidéos.
- Elle n’aime pas : Les autres filles, surtout. Enfin, quand elle ne couche pas avec elles. Elle se sent toujours en compétition avec elles. Parce que Valerija, elle doit toujours être plus que les autres. Plus belle, plus sexy, plus tentante, plus débridée. Elle déteste les choses qui lui semblent dépassées, pas chères et mal faites, et ça se traduit dans tout. Elle aime la bonne nourriture, elle est très critique lorsqu’elle regarde un film ou qu’elle écoute de la musique, elle refuse de payer moins de 60 euros pour une paire de chaussures.
- Elle aime : Les belles personnes, peu importe leur sexe. Elle aime ses hommes bien masculins et ses femmes bien féminines. L’ambiguïté, ça ne le fait pas pour elle. Elle aime les douches brûlantes, la musique forte, l’ivresse, la manipulation, avoir ce qu’elle désire lorsqu’elle le désire. Se sentir sale et belle à la fois.
I don’t say goodbye
Pseudo : Beau gosse /TANK Âge : 22 ans. | | Code du règlement : Heath aime prendre des bains à bulles avec des canards roses… À moins que j’ai loupé une partie. Petit mot/Question : AMOUR SUR VOUS! J’ai piqué quelques parties du gender bender d’Auré, mais bon, vous savez que ce n’est pas du plagiat, huhuhu. |
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| | | May Bastide
Messages : 159 Date d'inscription : 06/07/2012
| Dim 24 Fév - 18:54 | |
| Yo,
Alors pour le rang,Vis me semblerait très bien, si ça te convient à toi aussi, mais bon, ça me paraît bien en accord avec son côté manipulateur.
Ton don ressemble beaucoup à celui de Charlie, mais je crois que tu en as déjà discuté avec elle, alors si ça lui va, tout baigne.
EDIT : En attendant les remarques de Heath, je te valide quand même. |
| | | Heath J. Andersen
Messages : 463 Date d'inscription : 02/01/2012
Carte d'Identité Âge: 18 ans Don:
| Lun 25 Fév - 8:45 | |
| Alors, les points qui ne vont pas : Le caractère, on a là que la façade, donc, oui, c'est utile, mais on a pas le fond. Le vrai elle même. On imagine très bien qui elle est en société, manipulative, séductrice, etc. Enfin, la phrase disant qu'elle est un peu plus elle même une fois la tête à l'envers ne dit pas comme elle devient, je voudrais ta lumière sur ce point.
Pour l'histoire, même si elles sont très bien racontées, au final il n'y a que trois lignes sur l'histoire de Valerija, et ça serait bien de développer ça aussi. Parce que raconter une journée banale, ce n'est pas non plus l'histoire.
Voilà, je t'ai également envoyé un MP. |
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