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 Des conneries et des hommes » William« 

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Mathias Lambinet
Mathias Lambinet
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Sam 21 Juil - 14:20


« Un, deux, trois, tu seras mon arc-en-ciel »

    Je me levais, tard. C'était un dimanche matin et il n'y avait pas cours. Une journée de libre dans une semaine de fou. Je voulais décompresser des cours, même si je ne travaillais pas comme un dingue hein, juste je voulais m'amuser et j'ai directement pensé à William. Ouais, je voulais me foutre encore de lui, c'était drôle à chaque fois.

    Je me redressai un peu dans le lit, histoire de le voir dans l'autre, sous ses couettes. Je claquai des doigts et mon clone apparut. Je pouffais déjà à l'idée de voir la tête de Will après mon réveil...rafraîchissant. Je demandai au clone d'aller chercher de l'eau froide dans un verre et de le verser sur la tête de mon ami, pour qu'il soit bien réveillé. Et c'est ce qu'il fit. Avoir un clone c'était toujours pratique. J'en profitai pour prendre une vidéo « souvenir » en espérant qu'il soit assez flemmard pour ne pas concocter une vengeance. Au pire, je resterai sur mes gardes. Parce qu'autant c'est un blasé de la vie en temps normal, autant avec moi, il a l'air plutôt cool.

    « Eh Will, tu peux me remercier, t'as plus besoin de prendre de douche maintenant » lançai-je en rigolant, tandis que je sortais de mon lit, en caleçon. « Bon, moi je vais la prendre et émerge de ton lit, je te traîne dehors, et je te paie la bouffe. Tu peux pas refuser, tu sais à quel point je suis vénal »

    Sur ces mots, je pris bien une ou deux heures dans la salle de bain. Faut dire, entre se laver, se brosser les dents, coiffer mes cheveux indisciplinés -avec les shampoings à la con qui marchent pas du genre « zéro frisottis »- et appliquer ma crème de jour pour ensuite me sécher et enfiler mes sous-vêtements, le tout en prenant soin de faire attention à chaque détail... Oui bon, j'avais prit beaucoup de temps, mais personne ne refuse une douche chaude. Et puis je voulais surtout que Will digère son verre d'eau matinal. Je sortis enfin de la salle de bain et le chopa pour l'y enfermer.

    « Prends quand même ta douche, que tu sentes pas le chien mouillé »

    Non j'étais pas salop avec lui...De toute manière il me le rendait bien alors bon. Du coup, le temps qu'il se prépare, je m'habillais, lui empruntant un jean skinny noir. On faisait à peu près la même taille et le même poids, du coup je pouvais lui piquer quelques fringues et inversement. J'enfilai ensuite un marcel noir et une chemise à carreaux noirs et rouges, ouverte. Je me regardai dans le miroir, me disant que j'avais la classe. Je nouai ensuite mes baskets rouges et l'attendais, allongé sur son lit, faisant des bulles avec mon chewing gum.

    « Eh accélère Honey, on dirait une grand-mère de soixante-dix ans »

    J'aimais vraiment le taquiner. Bon, il sortit enfin, et lui jetai ses fringues à la figure, fringues que j'avais prit soin de choisir pour lui. Des fringues qu'il aimerait, elles étaient soft donc qu'il se plaigne pas, je ne lui avais pas refilé des couleurs. Pas pour l'instant. J'avais bien sûr dans l'idée de lui foutre du orange sur le cul. Je voulais me marrer, donc je ferais tout pour, ahahah !

    Une fois qu'il fut prêt, lavé, habillé, je le chopai par un bras, et de l'autre prit ma besace et en route vers les rues avec tout pleins de magasins. Je m'arrêtai devant un, dont la devanture très colorée me rappelait ma sortie avec Charlie quelques jours plus tôt. Je me souvenais aussi qu'elle avait acheté pleins de fringues flashy. C'était genre LA boutique idéale pour lui redonner des couleurs, à ce cachet d'aspirine que je traînai toujours par le bras.

    « Eeeh Wiill, viens dans cette boutique, je suis sûr qu'il y aura des choses qui vont te plaire » dis-je avec une voix légèrement plus aiguë, à la limite du mignon...ou à la limite du ridicule.

    Je le poussai à l'intérieur du magasin, en le tenant toujours, puis allai vers les étalages de t-shirt col V tous plus flash les uns que les autres. Du jaune, du vert, du bleu, du violet, même du fuchsia. Pour ne pas le brusquer, j'en pris un vert et un bleu. Puis allai prendre un jean skinny blanc. Le blanc c'était surtout pour calmer la couleur, mais ça changeait vachement de ses jeans noirs.

    « Va essayer tout ça bébé »

    En même temps je le poussai vers les cabines avec une petite tape sur les fesses, pouffant un peu avec un grand sourire sur les lèvres.


Dernière édition par Mathias Lambinet le Sam 21 Juil - 18:28, édité 1 fois
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William Lawford
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Sam 21 Juil - 15:58



Théoriquement, le dimanche, je fais la grasse mat’. Théoriquement. Mais je crois que Mathias n’entre dans aucune sorte de théorie imaginable. Ou plutôt, il les détruit toutes avec sa tronche d’ahuri totalement dérangé. J’ai beau me construire des plans, les organiser et bien les ranger dans ma tête, lui, il se pointe, et d’un coup de hanche sur le côté, hop, il te dégage tout et il te fait un peace avec ses doigts.

Peace de mes fesses, ouais. J’vais le démonter.

« Putain de m… »

La suite de ma phrase s’étouffe dans mon oreiller tout mouillé. Je m’en fous, je dormirai tout trempé, mais je dormirai.
C’était sans compter sur la coriacité de Mathias. Il continue de me verser joyeusement de l’eau à la gueule. Je sais qu’il ne lâchera pas l’affaire tant que je me serai pas levé… Voyons, Mathias. Tu sais très bien comme je suis. Mettre à l’épreuve ma patience, c’est comme déclarer la guerre au commandant de l’Armée de Terre en brandissant une fourchette. T’as aucune chance.
… Ou pas. Un filet d’eau qui coule dans mon oreille me fait sursauter et je me retourne d’un coup, pour empoigner cette blondasse par le cou.

« Fous-moi la paix, espèce de… ! »


Pouf.

La matière que je tenais entre mes doigts il y a encore quelques secondes s’échappe comme une fumée, tandis que je retiens un cri de surprise. Mathias a… disparu. Je tourne la tête sur ma droite, machinalement. Oh, je déteste son pouvoir.

Il est là, à moitié allongé, et se tient le ventre tellement il est mort de rire. Mais le pire… C’est qu’il tient son portable à la main, et je devine sans mal qu’il est en train de me filmer. Et là, actuellement, je dois avoir une belle tête de crétin bloquée en mode pause. Je déglutis et me recompose une face potable, aussitôt. Mathias commence à me déblatérer des conneries (pour changer) comme quoi je devrais le remercier, blablabla… WTF ? Le remercier de pourrir mes matinées ? Je me lève en balançant ma couette par terre et d’un pas furibond, je vais planter un doigt d’honneur juste devant l’objectif.

« Tu vas le payer, Mathy. Prends ce geste comme une déclaration de guerre. »


Au moment où il passe devant moi pour se rendre dans la douche, je lui donne un léger coup de pied aux fesses. Allez, dégage. Débarrasse-moi l’plancher.

Je retourne à mon lit en traînant des pattes, prêt à le ranger, mais une pensée me vient à l’esprit, une pensée qui me fait arrêter net. Attends… Mathias est parti se laver, c’est ça ? Oooooooh mais c’eeeeeeest bon, je peux dormir encore quelques heures tranquille ! Mathy, c’est pire qu’une fille qui a un rencard avec l’amour de sa vie. Il passe un temps démentiel sous la douche. Jamais compris ce qu’il y faisait d’ailleurs…

Oho. Une idée machiavélique me vient. Oh non, comme tu es bon, Willy.

Je saisis mon propre portable posé sur ma table de chevet, et de deux-trois bonds, arrive près de la porte de la douche Je l’ouvre le plus discrètement possible. C’est bon, il est sous le pommeau de douche, avec les rideaux fermés, à chantonner comme d’habitude. J’entre à pas de loups et regarde frénétiquement autour de moi. Où poser mon arme… Finalement, je trouve un petit espace sur un meuble, juste sous les serviettes. Il sera bien caché comme ça. Je pose mon portable dessus, dans le bon angle, histoire de capturer le joli corps tout nu de mon petit Mathy dès qu’il sortira de sa douche, et j’appuie sur play.

« Scène 1, action », je souffle, avec un fin sourire sur les lèvres.

Et je ressors, tout aussi discrètement, en refermant sans bruit la porte derrière moi. Ha, je me sens mieux tout à coup. En plus, j’ai le temps de pioncer encore un peu, le temps qu’il sorte. Ravi du retournement de situation, je m’affale à plat ventre sur mon lit, et ferme aussitôt les yeux.


Quelques minutes plus tard, je suis réveillé de nouveau par une main qui m’attrape par le col, dans le dos, et me soulève sans ménagement.

« Prends quand même ta douche, que tu sentes pas le chien mouillé »

Hé ? Non mais, je t’emmerde. J’ai même pas le temps de protester, je me retrouve moi aussi dans la salle de bains. Je me gratte machinalement le bas du dos, en regardant autour de moi. Ah oui, mon portable. Je le reprends et l’éteins. Inutile de gâcher encore plus de batterie, j’aurai tout le temps de visionner les exploits de Mathias plus tard.

L’eau chaude fait ce que le verre glacial de Mathias n’a pas su faire : me réveiller tout en douceur. Bien sûr, c’était sans compter sur les vannes de mon cher et tendre ami. Une mamie de soixante-dix ans, moi ? Je marmonne, en coupant l’eau :

« Si on se fie à ton échelle, t’es aussi bien conservé qu’une momie, crétin. »


En sortant, des vêtements propres jetés à la figure m’accueillent. J’ai la flemme de râler, je les prends simplement et les enfile. Sur le chemin, j’ai le temps de me préparer mentalement à la journée qui va suivre. C’est simple, avec Mathy, j’ai l’impression de me retrouver les jours de solde avec mes quatre sœurs, comme avant. Tiraillé de partout et assommé sous une avalanche de vêtements qu’on a choisi pour moi sans me demander mon avis. Alors oui, faut toute une préparation psychologique avant. Surtout si la première boutique dans lequel on vous force à poser le pied se trouve être le repère caché de Oui-Oui dans le monde des arcs-en-ciel féériques.

« Eeeh Wiill, viens dans cette boutique, je suis sûr qu'il y aura des choses qui vont te plaire »

Ou pas.

J’attends sagement que Mathias ait fini de fureter partout entre les rayons. Heureusement, c’est rapide. Si y a une chose dont je ne me plains pas, c’est qu’il est efficace et ne passe pas vingt mille ans entre les rayons. Mon calvaire est un peu plus court, comme ça.

« Va essayer tout ça bébé »

Et il me tapote les fesses, tranquille, comme si j’étais son petit jouet sexuel du dimanche. Je m’arrête, me retourne pour le regarder dans les yeux, et soupire :

« T’es vraiment pédé. »


Ma façon à moi de lui dire qu’il fait chier. Il comprendra.

Je commence par enfiler le T-shirt bleu. C’est le vêtement qui me fait le moins peur, pour l’instant. Le jean m’a l’air de serrer les fesses et le haut vert là… Berk, du vert. En tout cas, mes intuitions étaient bonnes. Je passe à peine mon derrière dans son jean à la noix de coco. Je sais, c’pour faire sexy. Mais moi j’ai pas envie.

« Hey Mathy ? Tu veux pas aller me chercher un pantalon où mes attributs masculins pourront respirer, st’eu plaît ? »


Non mais. Je vais finir castré, à cette allure.



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Mathias Lambinet
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Sam 21 Juil - 18:05

« T’es vraiment pédé. »


    Wow wow wow. Du calme mon p'tit. Je n'étais pas pédé et je ne le serais jamais. CERTES, j'ai quelques passions pour des hommes mais ça ne reste que purement sexuel. C'était pas un argument, et je l'aimais pas. Il devait le savoir roh. Je me contentai de soupirer en croisant les bras.

    « Et toi un coincé du cul » Ouais bon, je rajoutai une petite phrase histoire de voilà quoi. Bon, on s'en foutait de savoir le pourquoi du comment non ? Bon.

    En attendant que la miss ne se change, j'étais déjà reparti faire un tour dans le magasin, histoire de voir ce qu'ils proposaient dans les rayons. Et là, je suis tombé sur LE pantalon de mes rêves pour Will. Je le pris, éclatai de rire tout seul comme un taré dans le fond du magasin, mais je m'en fichai pas mal, rien que de penser le voir avec... Je reviens vers sa cabine et déjà il se plaignait. C'était pas possible. Cet escargot du matin arrivait quand même à se plaindre.

    « _ Qu'est-ce t'as feignasse ?
    _ Hey Mathy ? Tu veux pas aller me chercher un pantalon où mes attributs masculins pourront respirer, st’eu plaît ?
    _ T'es chiant tu sais ? Mais ouais, j'ai un truc pour toi »

    Je dissimulai un petit rire derrière ma main. En fait je lui avais prit aussi un pantalon plus soft, un noir, un comme il aimait, mais c'était pour cacher l'immondice orange que j'avais trouvé, derrière. Je lui tendis le duo de pantalon, et écartai légèrement les pans du rideau pour voir où il en était. À peine avait-il enlevé le jean blanc que je le chopais, en même temps que le noir et son jean avec lequel il s'était ramené. Je voulais qu'il porte des couleurs, j'allais pas lui laisser l'occasion de ne pas essayer. En plus, avec Will on avait développé cette super capacité à voler les affaires dans les cabines des gens, assez vite pour qu'on ne puisse pas les récupérer. J'invoquai discrètement un autre clone d'un claquement de doigts, et le sommait de se cacher avec les fringues un peu plus loin, le plus discrètement possible. Une fois sûr qu'il ne pourrait pas l'attraper, je me penchai vers un étalage et lui sortit le pull col V fuchsia et le lui passa.

    « Aller bébé... montre moi ta jolie bouille. T'as vu, même plus besoin de manger de carottes pour avoir des couleurs ! » me moquai-je gentiment.

    Je m'adossai contre la cabine et tira un peu le rideau pour le voir.

    « Sinon j'ouvre en grand le rideau et tout le monde te verra ~ »

    Je rigolais tellement derrière ma main, que plusieurs clients se tournaient déjà vers nous. Oops. Enfin, il n'avait qu'à mettre des couleurs en temps normal.

    « Tes petits attributs ne sont pas trop comprimés, Honey ? »
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William Lawford
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Jeu 26 Juil - 0:37

Mathy me ramène sagement d'autres pantalons (sans pouvoir s'empêcher de glisser quelques commentaires, bien sûr). Je m'étonne en voyant un jean noir m'arriver entre les mains. C'est moi ou Mathias capitule ? Le connaissant, il aurait encore insisté pour me voir porter des trucs serrés, moches, multicolores, bref, des immondices de la mode de nos jours, mais là... Rien. Il m'apporte comme un gentil chienchien le genre de fringues qui remplissent déjà mon armoire.

Non. Y a anguille sous roche.

Méfiant, j'enlève le précédent pantalon. Mais quand je relève la tête... Surprise. Plus là. Remplacé par... Bah tiens, qu'est-ce que je disais.

"Tiens, bizarre. Je savais pas que les pantalons noirs mangeaient des carottes... Tu me prendrais pas pour un con, là, Mathy ?"

Et il en rajoute avec un truc rose caca d'oie qu'il me tend à bout de bras de l'autre côté du rideau. Là, je reste bloqué. Y a un truc qui marche pas dans mon cerveau, là, comme une espèce de contresens...
Du rose ET du orange ? Il veut que je ressemble à une salade de fruits martiniquaise ou quoi ?

« Aller bébé... montre moi ta jolie bouille. T'as vu, même plus besoin de manger de carottes pour avoir des couleurs ! Sinon j'ouvre en grand le rideau et tout le monde te verra ~.... Tes petits attributs ne sont pas trop comprimés, Honey ? »


Keuwa ?

Immédiatement, je glisse ma tête entre le mur et le rideau, de sorte que Mathias soit le seul à voir mon oeil découvert, qui lui lance des éclairs.

"Mes attributs iraient beaucoup mieux s'ils flippaient pas d'être réduits à néant par tes conneries à la rose bonbon et fleur d'oranger. Hors de question que je porte ça, Mathias. Je préfère encore rester en caleçon."


C'est bien ce qui risquait d'arriver, en fait... Le temps que je me déshabille, et tous les pantalons disponibles avaient disparu, comme par magie. On me la fait pas, à moi. Je sais très bien ce qu'ils sont devenus, j'ai fait le même coup à plein d'inconnus. Avec Mathias, justement. Mais là, c'est la première fois qu'il se permet de le faire contre moi... 'spèce de traître à l'amitié.

"Je sais très bien ce que t'as foutu de mes fringues, mais là, je suis très bien accroché au rideau. On peut se le disputer si tu veux, mais à la place, je te propose de... négocier ? Ca nous coûtera moins d'emmerdes avec cette boutique qui nous a encore jamais virés."


Je sais pas encore ce que je vais négocier, mais je sens que j'ai quand même un petit atout. Dans mon portable. Ma petite scène numéro 1.



Dernière édition par William Lawford le Ven 17 Aoû - 18:19, édité 1 fois
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Mathias Lambinet
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Ven 17 Aoû - 18:05

    « Non du tout. Tu prendras des couleurs, vu que t'es pas foutu de sourire. Que tu montre ta joie d'être avec moi au moins ».

    Il était pas marrant. Pas marrant quand on le prenait pour cible. Ça pouvait être compréhensible, mais j'aimais bien rire, et là, il ne faisait pas rire, toujours à se plaindre. En plus il s'était accouplé au rideau et je pouvais pas le voir tout « fruité ».

    « Rose bonbon, tu dis. Tu me donnes tellement d'idées, William ! Je viens de t'imaginer avec des chouchous roses dans les cheveux, genre ceux de tes soeurs ! » J'éclatai de rire, parce que vraiment, la vision était h-i-l-a-r-a-n-t-e. Je riais tellement, que j'étais obligé de me tenir contre le mur de la cabine. J'exagérai un peu, certes, mais en fait non. William fringué comme une nana, avec des couettes. Si on voulait ma mort, ça serait par le rire et un Will dans cette tenue.

    Je reprenais doucement le contrôle, et passai une main sous mes yeux pour les essuyer. Puis je haussai un sourcil à sa proposition. Négocier. Négocier avec lui pouvait être... dangereux, mais le voir sortir en caleçon était tout aussi tentant. On dirait pas comme ça, mais il était assez pudique, alors ça remplacerait les vêtements colorés.

    « Et y'a quoi à négocier ? Parce que moi je veux bien te voir en calefute tu sais...à défaut de te voir avec ses jolis vêtements » Je lui souris tel un pédophile, puis posai une main sur ma hanche, attendant sa réponse. Je jetai quand même un coup d'oeil à mon clone, pour voir s'il n'avait pas disparu puis revins à Will.
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