La fête battaint son plein, l'ambiance à son paroxysme, et on pouvait voir les couples d'aimer, se disputer, des amis rires, s'envoyer du champagne dans la tête. Tout était parfait, sans trop de débordements. La fête parfaite, qui resterait dans les esprits.
A vrai dire, tous avaient envie de profiter de cette soirée, parce qu'ensuite, le quotidien reviendrait au galop. Le quotidien et cette obligation de passer ses vacances enfermées dans sa propre école, loin des nouveaux visages.

Les lumières vacillent, quelques secondes, quand l'obscurité englobe la salle. On n'y voit plus ses mains, encore moins le visage de notre interlocuteur. Il y a un silence, puis la surprise, des murmures, quelques agitations. Mais tout est très rapidement calmé par Monsieur Ostrogoth, le directeur allemand, qui de sa voix la plus audible annonce la fin de soirée.

« Mes amis, la fin de soirée approchant, nous vous demandons de vous rendre dans les jardins par les balcons, où un feu d'artifice, accompagné d'un orchestre de premier choix, va prendre place. Et nous vous remercions pour cette semaine, en espérant qu'elle ai été agréable pour vous aussi. »

Pendant que ces quelques mots sont prononcés, l'équipe pédagogique des trois écoles se sont dépêchés d'ouvrir en grand la porte du balcon, fermant l'entrée principale à la salle de bal, raccompagnant certains élèves vers les fusées qui grondent déjà.

Quelques instants plus tard, au dessus de l’herbe humide qui chatouillait les pieds découvert des demoiselles, perlant le cours brossé des chaussures de luxe de ses messieurs, un bruit de détonation éclata en mille paillettes de couleurs. Un feu d’artifice. Illuminant le ciel étoilé de couleur éclatante, le clou de la soirée captivait l’attention des élèves.

Pourtant, il y a un problème, quelques personnes semblent s'être perdues en chemin. Malgré les professeurs ? Ceux-ci se donnent pourtant du mal, à faire sortir les élèves rapidement, pour être sûr qu'ils ne manquent pas une miette. C'est bien pour ça, pas vrai ?
Mais disons la vérité, nous remarquons que, Vitali Sergey, qui faisait le Don Juan auprès des demoiselles sans cavaliers n'est plus entouré de groupies, en fait, ses groupies sont encore là, mais lui, introuvable. Il en est de même pour Lyria Sandman, qui, il y a un instant encore, fendait la foule pour s'échapper. Et qu'est-il arrivé à Charlie Clarke, qui voulait seulement danser ? C'est sans parler de May Bastide et Erika Linoa* que l'on a vu s'échapper ensembles pour discuter mais ne sont jamais revenues....

C'est du spectacle en grand, seulement, on dirait que quelque chose cloche. L'horloge fait tic toc. Il est bientôt minuit; est-ce qu'on verra le carrosse redevenir citrouille, ou peut-êre les adultes savent comment cacher la supercherie correctement.


*Pour Erika, ayant oublié de demander l'autorisation au joueur concerné, si celui-ci n'est pas d'accord, elle est retirée de la liste, dans tout les cas, il est appelé à se manifester.

NB : Les personnes disparues, ne vous inquiétez pas, vous revenez à la clotûre des sujets d'Event, qui normalement, ne devraient plus prendre très longtemps. Vous pouvez toujours faire des RPs ultérieur au bal ou dans la partie du palais.


Très à vous, Prophetia.

La fin des festivités. Quelle joie ça a été pour tout le monde. Ou presque. Voilà que le départ en car commence, et tout le onde est là, même les disparus de la salle de réception. Beaucoup ont la gueule de bois, et le trajet du retour prend beaucoup plus de temps pour les allemands qui doivent s'arrêter toutes les heures afin que personne ne vomisse dans le véhicule commun.

En pratique, ça veut dire que vous pouvez désormais reprendre vos activité dans votre école d'origine, finir vos clôtures et divers RPs en cours. Vous pouvez aussi bien jouer la fin de l'été dans votre école, sachant que les cours reprennent en mi-août, ou décidé que la rentrée a déjà eu lieu depuis longtemps. Comme on est sur un forum, et que ça serait bête d'arriver à la fin de nos études, je vous propose de faire comme si vous aviez tous redoubler, mais sans avoir le malheur de redoubler (en gros, vous garder votre année.)

A très bientôt pour de nouvelles rencontres inter-écoles.